Agenda
Le programme Gestion des Connaissances et Genre
organise une "Foire aux savoirs" qui se déroulera à Niamey au Niger les 15, 16 et 17 juin 2010 sur le campus universitaire de l’Université Abdou Moumouni à l’Ecole des Mines, de l’Industrie et de la Géologie (EMIG).
Trois thèmes seront abordés :
i) la gestion des intrants agricoles,
ii) la valorisation des bonnes
pratiques agricoles et des innovations,
iii) l’information et la communication pour le monde rural.
La question de l’égalité de genre sera transversale à chacun des thèmes et sous thèmes traités
sous forme d’ateliers débats, de tables rondes, de projections de documentaires.
Un espace ouvert permanent avec des stands d’exposition, des points d’information et de formation sera le cœur de la foire.
La foire accueillera 150 personnes venant essentiellement du Niger, du Burkina Faso et de la sous – région, issues d’organisations de différentes natures : Organisations Professionnelles Agricoles, Projets de développement, ONG, Services techniques, Organisations du Système des Nations Unies, Etudiants / Apprenants / Chercheurs en Agriculture – Développement rural – Information et communication.
Les trois jours s’organiseront autour de plusieurs formats de sessions :
Plénières en ouverture et en clôture ;
Ateliers débats (de 75 min) ;
Espace "ouvert" permanent avec des stands d’exposition, des points d’information et de formation, des animations ;
Tables rondes ou démonstrations ;
Audition d’émissions
– projections de documentaires dans une salle réservée à cet usage ;
Visite de terrain organisée à proximité de Niamey.
Pour nous contacter :
contact"Arobase"connaissances-genre.net
A propos du projet
Programme de Partenariat FAO-Belgique « Gestion des connaissances et genre »
Défini de façon concertée entre la Belgique et la FAO, le programme « Gestion des connaissances et genre » fait partie du programme multilatéral de la Belgique pour la période 2008-2011.
Les programmes financés précédemment par la Belgique ne prenaient pas systématiquement en compte la problématique du genre. De plus, les acquis des projets composant ces programmes n’étaient pas valorisés convenablement. Ces deux constats sont à l’origine de la création du programme « Gestion des connaissances et genre » qui capitalise les acquis antérieurs et en intégrant les questions de genre dans toutes les composantes du programme actuel.
Mission
Le programme « Gestion des connaissances et genre » a pour mission d’améliorer les conditions de vie des populations rurales, d’intégrer les questions de genre dans les projets qui en font partie et veiller à ce que l’échange de connaissances se fasse entre les différents acteurs impliqués dans le programme grâce à une approche participative.
Le programme « Gestion des connaissances et genre » a donc pour but de :
* rendre plus efficace la diffusion des connaissances ;
* promouvoir le partage des savoirs ;
* faire connaître et diffuser les bonnes pratiques, notamment en matière d’appui à la sécurité alimentaire et d’autonomisation des populations rurales, particulièrement les femmes ;
* mettre en synergie le plus grand nombre possible d’acteurs du développement (réseaux, administrations, société civile, organisations paysannes, organisations de producteurs, autres organisations internationales bi- et multilatérales).
Finalité
Le programme « Gestion des connaissances et genre » a comme finalité de contribuer à la sécurité alimentaire des populations rurales en Afrique de l’Ouest (Burkina Faso, Mali, Niger et Sénégal), en veillant à ce que toutes les catégories de population soient incluses, notamment celles qui par les mécanismes et procédures sociales, institutionnelles, économiques et politiques sont souvent écartées, le plus souvent les agricultrices et les femmes rurales.
Il se fixe comme objectif global de capitaliser et de diffuser les savoirs validés en matière de sécurité alimentaire et d’autonomisation des populations rurales, notamment les femmes. Bien au-delà de la simple fourniture d’informations, il s’agit de valoriser les résultats acquis et de les alimenter en recourant :
A une communication interactive à tous les niveaux
Au renforcement des capacités
Au partenariat entre toutes les parties prenantes, en particulier avec les agriculteurs et les agricultrices et à la mise en réseaux.